J'ai fini mon projet synthèse.
J'ai finis pas le finir en fait, puisque que j'avais tellement misé depuis le début du DEC sur cet infâme projet que mon cerveau a été bloqué dès le début. J'avais misé sur lui pour me défouler, sérieusement.
Bloqué parce que je voulais enfin faire le mien, de A à Z, du concept au contenu artistique. Bloqué parce que j'avais la tête remplie de toutes ces belles idées non évaluable pour les profs que je retenais depuis longtemps parce que les projets scolaires, eux, ont des critères stirctes. Bloqué parce que contrairement à ce que j'avais cru, LE projet synthèse restait scolaire malgrès lui, malgrès le fait que je devais encore une fois suivre une forme de guide par principe éducatif, bien sûr parce que je suis à l'école. Même MON projet synthèse n'était pas totalement à moi.
Bref, comme plusieurs, j'ai rencontré des obstacles durant sa création. Des obstacles qui venaient principalement du fait que je devais me satisfaire, moi en plus de tous les autres. C'est à dire premièrement mes parents qui ne voulaitent pas du tout que je perde mon temps en art, qui à la limite de la menace financière ont fini par se faire à l'idée. Mes amies aussi qui me demandaient concrètement ce que je faisait dans mes cours, et moi qui ne savais pas concrètement comment leur répondre.
J'ai frappé un mur une fois qui à durée 3 jours. Durant ses 3 jours je n'ais même plus pensé au projet. Je l'ai oublier totalement, il était sortit de mon esprit. Honnêtement j'ai été découragé de voir que je ne le faisait pas pour moi, que j'avais de la pression, que ça ne me faisait plus plaisir de le faire. Puis j'ai vu que la menace du temps fesait aussi son effet sur moi et que je devais le finir à temps pour le jours de la vrai rédaction finale.
Et puis je l'ai fini. Je l'ai fait quand même. Ça ma pris quleque choses comme 5 jours de travail assez intensif puis mon projet était prêt à sa scolaire évaluation. Sérieusement j'ai été capable de mettre de côté tout le stress et la pression que j'avais sentis au début pour faire quelque chose qui me ressemblait vraiment plus. C'est vraiment après avoir finalisé les dernières touches que jai réalisé que j'avais vraiment bien joué, que je n'étais pas tombé dans l'oubli de mon désir et que c'était très unique. Je savais au fond de moi que l'effect que mon oeuvre aurait sur les spectateurs de l'exposition allait me surprendre. J'ai été satisfaite.
C'est après le "vernissage" de 40 minutes maximum, ce vernissage où tous nos clip ont été suprimés de la programation par cause de je ne sais quelle raison ...Probablement que ça ne convenait pas pour l'occasion de montrer l'éclatement étudiant à tout ce beau monde adulte et pogné. Il ne faudrait surtout pas montrer quelque chose de la sorte, quelque chose d'aussi scandalisant à des monsieurs en cravate et madame tous le monde. Imaginez qu'ils se mettent à penser des mauvaises choses du cégep, des mauvaise sur l'art , que ces 30 secondes appartenant à chancun de nous salissent momentanément l'image sérieuse qu'une école se doit d'avoir. Non mais , imaginez, quel drame ça aurait fait... De toute façon les élèves, eux, ont fait leurs clips le sourire aux lèvres, avec joie et passion d'imortaliser une idée de leur choix qui les représentait. Au fond, tout ce beau travail gratuit était pour leur bien-être à eux. Pourquoi prendre le risque de les montrer quand on peut juste les enlever sans qu'aucun de nous ne puisse y changer quoi que ce soit? S'il fallait faire quelque chose de préçis pour qu'ils soient diffusé, désolé personne du DEC n'a été mit au courant. Donc, après ça, c'était le moment de vérité pour moi de voir la réation de tout ce beau monde face à mon oeuvre.
La personne que je susi le plus fier d'avoir impressionné est mon père. C'est un peu normal aussi parce qu'avant cette avanture au cégep, il était le premier à ne pas vouloir que j'y mette les pieds, en tout cas, surtout pas en art. D'après lui, comme d'après plusieurs autres , mon oeuvre était L'OEUVRE. Ça aurait été sont genre de me montrer l'oeuvre d'un autre étudiant talentueux et de me dire:" Wow! regarde celle-là, t'aurais peut-être dû faire quelque choses comme ça toi aussi..."C'était tout le contraire...
Ma belle-mère, qui a longtemps fait du dessin et autres arts a elle aussi été très surprise de mon acomplissement. Mes amies aussi. Les spectateurs aussi. J'en entend encore parler.
Je suis satisfaite.
vendredi 9 mai 2008
mercredi 23 avril 2008
...c'est la fin...

Je me revois encore assise dans le minuscule local d'art de ma minable et très petite école secondaire de St-Charles-de-Bellechasse... À ce moment là, je devais être en secondaire 3 ,quelque chose comme ça... Un jour, comme dans toutes les écoles secondaires, on doit faire un test d'aptitude général pour savoir en gros dans quel domaine on doit se diriger quand il va être le temps de faire le grand saut vers le cégep. Je n'avais pas besion de faire ce test là. C'était comme ça depuis longtemps, je savais que je m'en allai en art, et j'avais tellement hâte en plus. Alors, j'ai patienté. J'ai fait mes cours comme il ce doit au secondaire, passant le plus clair de mon temps dans le local d'art à parler avec un des 6 profs différents que le secondaire a aceuilli durant mon passage dans cet établissement scolaire. Drôlement, les profs d'art étaient mes préféré! Si vous saviez les spécimens qui ont passé là , c'était assez hallucinant...Une religieuse,une frisée avec un accent, un barbu, une vielle en phase terminal, une multidiciplinaire dans les vapes... Autant positif que négatif à vrai dire. J'ai constaté à partir de là que les artistes se devaient d'être unique et sûr d'eux même quoi qu'il arrive. Même s'ils doutent, ils restent des artistes quand même. Pour moi la direction vers les arts se faisait de plus en plus obligatoire à mon développemnent . J'en avais assez d'avoir des 98 % qui ne voulaient finalement rien dire de concret sur mon evolution. Je voulais rapidement voir de quoi j'étais vraiment capable dans un niveau plus haut, celui du cégep. Alors, même si j'étais encore en secondaire 4, je me suis dis que cette passion de m'en aller de là devais valoir la peine, que je devais trouver LA place où tout mon savoir faire artistique pourrait enfin murir. Comme j'avais autant d'aspiration à crisser mon camp de chez mes parents à 17ans que de m'en aller en art au plus vite, je me suis dis que Lévis-Lauzon était la place idéale. Je n'étais jamais rentré dans un cégep de ma vie à ce moment là. C'est là que je voulais être, et j'y suis aller. D'ailleurs, étrangement je suis aller 3 fois au porte ouverte du cégep. Certains me diront que une fois aurrait été assez, mais non , pas pour moi. J'ai visité les locaux 3 fois. Très lentement aussi. Ce qui est le plus bizzard là dedans, c'est que je ne suis jamais aller à aucune autre porte ouverte de ma vie. Si j'aurais douté, il aurait été normal que je revisite les lieux, mais je ne doutais absolument pas. J'étais encore au secondaire que je voulais passer le plus de temps possible dans ma future école...Je me souviens la première fois que je suis rentré dans le local H. My God! C'était tellement sale.: Les élèves de cette année là faisait LE projet de Serge( que je ne connaissait pas encore à ce moment) avec du plâtre. J'avais encore plus hate. J'ai vu pour la première fois de ma vie les profs aussi. C'était bizare car j'allais les revoir, je le savais. D'ailleurs c'est la première fois que j'ai croisé Alain dans les lieux scolaires, c'est lui qui m'a le plus marqué. Oui, c'est à cause de son gillet jaune, sans surprise ça fesse. La fois d'après, (l'autre porte ouverte) j'ai encore revu cet infâme Alain, et à mon grand étonnement, il avait le même gillet :O :O :O. C'est à la troisième porte ouverte que j'ai capoté quand j'ai vu qu'il était encore en jaune. Sérieusement j'en était venu à me dire que c'était la plus grande coÏncidence de tous les temps, à la limite d'un signe surnaturel, que ça n'avait pas de bon sens que ça tombe toujours sur les portes ouvertes où moi, j'étais là. Finalement, avec le recul ;P , ça n'avais rien de paranormale cette histoire de gillet jaune là ! Un fois le secondaire 5 et tous les examene de reprise en Math 426 que j'ai dû faire ( et refaire...) pour avoir mon tellemtn obligatoire diplôme , le GRAND moment arrivait. ENFIN...
Maintenant que 2 années se sont écoulé, je me surprant à être nostalique de ce que je viens d'écrire. Je suis dans LE local que jadis j'avais visité 3 trois fois avec une exaltation proche de la crise de coeur. Je ne vois pas pourquoi je capotais autant, sérieusement. Les 2 années que j'avais tant désiré sont terminé. ENFIN... La vie indépendante à été plus dure que je le croyais. Les cours n'étaient pas non plus comme je l'avais imaginé. À la limite, j'ai aussi été autant déçu des autres élèves que des profs.
Maintenant que 2 années se sont écoulé, je me surprant à être nostalique de ce que je viens d'écrire. Je suis dans LE local que jadis j'avais visité 3 trois fois avec une exaltation proche de la crise de coeur. Je ne vois pas pourquoi je capotais autant, sérieusement. Les 2 années que j'avais tant désiré sont terminé. ENFIN... La vie indépendante à été plus dure que je le croyais. Les cours n'étaient pas non plus comme je l'avais imaginé. À la limite, j'ai aussi été autant déçu des autres élèves que des profs.
Jamais plus je n'idéaliserais quoi que ce soit. Idéaliser, c'est ça que je regrette le plus dans toute cette aventure. Je voulais me sauver de mon secondaire et de ma famille, mais au fond ce que j'ai trouvé au bout de mon chemin aurait mérité que je retourne profiter de ce que j'avais avant.
mardi 22 avril 2008
Trop de liberté ou incompatibilité?
D'abord, je vous incite fortement à aller voter au sondage qui apparaît complètement bas de la page, juste en haut des photos du blog. C'est un questionnement que j'ai eu à la suite de la lecture d'un blog qui parlait justement du sujet de la liberté à travers le projet. Merci d'avance de votre participation.
Honnêtement, je ne peu pas dire que je considère le projet de l'oeuvre totale comme une réussite. Je dirais que oui, ce fut très constructif (!), mais malheureusement il y avait plusieurs failles omniprésentes qui d'après moi ont tué prématurément la beauté de l'aquisition de connaissaces dans un contexte de communication et d'intéractivitéé. En me fiant à mon istinct, je dis que la liberté que nous avons eu dès le début y est vraiment pour quelque choses. Positif? Négatif? Une choses est sûre, ce n'est pas tous les élèves qui ont la faculté de gérer cet aspect de la même façon. Certains planent, d'autres sacrent. Il me semble que l'importance capitale que cette liberté a joué contre nous ... (Si je peu me permettre, je pense aussi que le choix du local était très mal approprié et que la communication essentielle n'était centré que sur le désir de certains.) Comme je l'ai dis précédemment, certains élèves contrôlaient mieux que d'autres l'aspect de la liberté à travers léxpériences artistique de l'oeuvre d'art totale. J'avourais que dans mon cas, j'aurais aimé un peu plus d'encadrement. Il fallais bien sûr que nous élaborions le projet seul pour qu'il soit bel et bien fait par des élèves, mais la façon donc il a été présenté était beaucoup trop vague pour moi.
De plus, ça fait 2 ans que nous ( si le fait que je parle au nous dérange quelqu'un, faite moi signe) sommes conditionnés à faire des projets seuls, sans l'impact des commentaires d'autruis, avec une liberté dans les projets dirigé essentiellement sur la performance académique . Jamais nous n'avions eu l'occasion de pouvoir travailler tous ensemble de cette façon. Pour ma part, et comme beaucoup le savent, je peu compter le nombre de personnes que j'apprécie en Art sur mes dix doigts. Cela pourra peut-être amené certains à compremdre mon attitude peu réceptive lors des cours où nous étions solicité à parler. J'émets aussi l'hypothèse que l'incompatibilité de personnalités, de caractères et d'attitude très prononcée de certains était un problème aussi considérable que celui de la liberté.
Honnêtement, je ne peu pas dire que je considère le projet de l'oeuvre totale comme une réussite. Je dirais que oui, ce fut très constructif (!), mais malheureusement il y avait plusieurs failles omniprésentes qui d'après moi ont tué prématurément la beauté de l'aquisition de connaissaces dans un contexte de communication et d'intéractivitéé. En me fiant à mon istinct, je dis que la liberté que nous avons eu dès le début y est vraiment pour quelque choses. Positif? Négatif? Une choses est sûre, ce n'est pas tous les élèves qui ont la faculté de gérer cet aspect de la même façon. Certains planent, d'autres sacrent. Il me semble que l'importance capitale que cette liberté a joué contre nous ... (Si je peu me permettre, je pense aussi que le choix du local était très mal approprié et que la communication essentielle n'était centré que sur le désir de certains.) Comme je l'ai dis précédemment, certains élèves contrôlaient mieux que d'autres l'aspect de la liberté à travers léxpériences artistique de l'oeuvre d'art totale. J'avourais que dans mon cas, j'aurais aimé un peu plus d'encadrement. Il fallais bien sûr que nous élaborions le projet seul pour qu'il soit bel et bien fait par des élèves, mais la façon donc il a été présenté était beaucoup trop vague pour moi.
De plus, ça fait 2 ans que nous ( si le fait que je parle au nous dérange quelqu'un, faite moi signe) sommes conditionnés à faire des projets seuls, sans l'impact des commentaires d'autruis, avec une liberté dans les projets dirigé essentiellement sur la performance académique . Jamais nous n'avions eu l'occasion de pouvoir travailler tous ensemble de cette façon. Pour ma part, et comme beaucoup le savent, je peu compter le nombre de personnes que j'apprécie en Art sur mes dix doigts. Cela pourra peut-être amené certains à compremdre mon attitude peu réceptive lors des cours où nous étions solicité à parler. J'émets aussi l'hypothèse que l'incompatibilité de personnalités, de caractères et d'attitude très prononcée de certains était un problème aussi considérable que celui de la liberté.
Une ignorance à combler

Je sais que le projet est terminé depuis bien longtemps, mais il faut quand même que je parle de mon rôle afin que je prouve ma participation. Ça me fait un peu rire de reparler de ce que j'ai fait il y a presque un mois après que la présentation oficielle du projet soit bel et bien fini, mais bon ...
Comme le sujet du projet à été décidé (heureusement) sans ma directe contribution, je devais quand même trouver mon rôle au sein de l'équipe. Le sujet de base (qui était, je le rappelle, une interprétation personnelle sur le monde de l'enfer mise en relation avec le monde de la musique metal des années 80) ne m'interpelait pas vraiment en partant. J'ai compris pourquoi; ce style de musique là et toute la culture qui y était ratachée m'étaient totalement inconnu! Certains dirons que c'est parce que je suis une fille, moi je dis que c'est parce que je n'ai pas eu de grand frère :). Effectivement, je me suis rendu compte en écoutant Jo Matisse et Oli parler ensemble du sujet en général que j'étais très loin d'y comprendre quoi que ce soit. Je me suis donc dis que je devais me mettre au travail de l'apprentissaqge du mouvement musical pour mieux m'intégrer au reste, à ce qui allait suivre :S.
J'ai donc été convié à une soirée DVD où j'ai visionné (à mon plus grand bonheur d'aprentissage) certains spectacles live, des entrevues, des albums photos des groupes les plus connus. Bien sûr mon excellent prof n'a pas manqué l'occasion de me faire un résumé assez concluant sur l'importance primordiale de ce type de musique sur la société.J'ai découvert que dérrière tout cet amoncellement de notes assez intense se cachait des messages politiques engagés, un grand défoulement, un critique incontestable des aspects socials en plus de contribué à l'avènement d'une nouvelle ère culturelle. J'ai aussi beaucoup mieux compris pourquoi les membres de mon équipe avaient associés cette période musicale à l'enfer:). Les déboires judiciaires, le sex, l'abus de drougue, l'alcool, les problèmes de communication au sein du groupe, sans oublier la violence et le pouvoir destructeurs de l'argent et de la gloire ne sont que quelques aspects à considèrer.
Même si ce n'est pas tout à fait mon type de musique, j'aurai au moin retenu quelque chose.
mercredi 16 avril 2008
Bipolarité

Ironie...
- Je vais à tous mes cours, j'ai une alimentation saine et totalement équilibré, je dort minimum 8 h par jour, je m'entraîne 3 fois par semaine, je travail au public 15 merveilleuse heures par semaine, j'aime d'ailleurs tous les clients qui passe à ma caisse, j'adore également ma boss même si elle fait les horraire tout croche, j'ai une fortune personnelle considérable pour mon âge, je ne suis jamais malade, je fait toujours tous mes devoirs et même plus, je lis au moin 1 livre par semaine dont des encyclopédies complètes pour ma propre culture personelle, je suis impliqué socialement dans 2 organismes à but non lucratif différents, j'aime mon prochain, je ne sacre pas, je suis toujours positive, je garde le sourire quoi qu'il arrive, j'aime discuter avec les gens surtout les avec des adultes cultivés, je fait du bénévolat 2 fois par mois, je fait des activités constructives avec mes amis/es question de construire des liens positif et fort avec eux, je vois ma famille (c'est à dire tante, oncle, cousin, cousine, marraine, père, mère, belle-mère, demi-soeur, demi-frère) aussi souvent que mes amis question de ne pas m'éloigner, je communique toujour très bien mes idées et je performe merveilleusement bien dans tous mes cours, j'aime voir le soleil briller dans le parc...
-Je vais à mes cours quand je ne suis pas cerné jusqu'en bas du nez, je dort quand je suis capable puisque j'ai un trouble permanent du sommeil, je mange tous ce qui en vente rapide à l'épicerie du coin que se soit de la friture ou des vielles patisseries, je m'engeule autant avec mes amis qu'avec ma famille, je ne les aime pas je les endurent, je n'apprécie la compagnie de personne, je suis toujours cassé comme un clou, je souris quand je veux être laide, je regarde par terre quand je marche dans les couloirs, je deteste les gens qui se croient superieur même s'ils le sont, j'ai envi de vomir quand je vois un arc-en-ciel, je parle à voix haute environ 10 minute par jour, je ne connais pas le nom des autres élèves dans ma classe même si je suis avec les même étudiants depuis 2 ans, je deteste les enfants, je n'en veu pas, je fait des indigestions et des grosses migraines tous les mois, il y a toujours un nuage en pleur au dessus de ma tête...
Je ne sais pas si c'est génétique, mais je pense que je développe avec le temps des signe de bibolarité. OK OK, c'est très léger, je dois avouer! Seulement les personnes proches de moi vont s'en rendre compte, et avec beaucoup de temps. Des Up and down comme les miens, c'est assez rare! Voyez-vous, cela influence grandement mon attitude à l'école, principalement dans les cours (puisque je passe la moitié de ma vie dans l'école) et c'est justement pour cela que j'en parle maintenant. Ça reste très personel, mais ça fait aussi partie de moi, de ce que je dégage en général, de mon image globale. Quand je suis motivée pour quelque chose comme un projet scolaire, je vais le faire du mieux que je peux, avec toutes ce que je peu donner pour que ça me ressemble.À ce moment là j'essai positivement de madapter aux projets, de voir ces nouveaux apprentisage d'un oeil constructif. Mais quand ça ne me plait pas, que je suis de mauvaise humeur à l'arrivé d'un projet, c'est déjà la fin... Quand ce qui pourrait être quelque choses de constructif arrive à la mauvaise seconde, que je n'accroche pas. Étrangement ça évolu peu dans mon esprit artistique. Le mur est déjà là, bien solide, indestructible. Je ne sais pas encore si on peu dire que je me bloque moi-même. Je m'excuse d'avance (quoi que personne ne m'en à jamais vraiment parlé...) si ça à déjà dérangé quelqu'un, mais ce n'est pas vraiement en mon pouvoir de changer ça. C'est parfois aussi déplaisant pour moi que pour les autres. Le projet de nouveaux médias est un exemple hors du commun. D'abord, je detestais l'idée (surtout au momment de l'annonciation du projet), puis j'ai voulu reprendre le contrôle et participer(après tout, le projet est original, riche en rebondissement, ça pourrait peut-être m'apporter plue que je pense), après j'ai lâché (quoi...quelque jour l'ambiance dans le cours était "à chier", on s'entend au moin là dessus...), j'ai donné des idées avec le sourire, j'ai sacré après n'importe quoi. Finalement, le tout c'est fait graduellement sans laisser vraiment des tarces de ces sautes d'humeurs sur le travail de création. Seulement moi, je me souviens que je ne voulais pas être là dans la moitié des cours et que soudainement je me suis retrouvé devant la caméra à interpréter des idées que j'avais élaboré moi-même, volontairement, pour mettre du mien dans le projet. C'est de la pure contradiction. Vu que je l'ai quand même fait, et que je me rend compte de cette aspect de moi même dans ce que j'écris maintenant, cela prouve t-il que j'ai plus appris sur moi que sur un développement créatif? Est-ce que justement le but n'était pas de viser ces deux aspect( apprendre sur soi et créer)?
...
À la base, j'utilisais le mot "infâme" comme adjectif, évidement. L'utilisation fréquente de ce mots est devevnue pour moi une habitude verbale, comme un surnom propice à être utilisé pour toutes les choses. Bien sûr, c'est très péjoratif, et je l'utilise pour désigner comme il se doit toutes choses méprisables. Bas, sale, désolable, navrant, peut-être même. Il s'agit toujours de ma vision des choses, celle très négative. Au début c'était son sens. Mais au fur et à mesure que je l'utilisais, je prennais un malin plaisir à lui trouver des nouvelles possibilités d'emplois. Et voilà que le mot à dégenéré. "Infâme" est devenu mon hymne, une sonorité associée à moi tellement je l'utilisais pour n'importe quoi. Je peut dire: cet INFÂME devoir! ces INFÂMES clients! cette affiche est vraiment INFÂME! mes INFÂMES cheveux sont indomptable ce matin! Comment vais-je trouver cet INFÂME réponse! Je suis même sûre que tous le monde en art m'a déjà entendu le dire au moins 2 fois , terriblement plus pour les intimes:P. C'est une peu comme le "ma zire " en fait. C'est une très lente et longue déformation de sons, de jeux de mots qui ont soigneusement fini par donner un mot qui ne veut rien dire pour personne, sauf pour ceux et celles au courant de son sens. Est-ce que j'ai le droit d'inventer des mots? Est-ce que je peux vraiment les utiliser si personne d'extérieur à moi ne les connaissent? Est-ce que je peu surnommer tous ce que je veux comme je le veux? Puis-je utiliser un adjectif à connotation négative dans l'entrée de mon blog? Oui.
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La gêne et le stress son deux facteurs qui viennent avec la location d'une caméra d'après moi! C'est vrai, quand ont à commencé à filmer notre partie de l'oeuvre totale, j'étais incapable de ne pas sourire. Premièrement parce que je ne suis pas habitué à ça, et deuxièmemment parce que je me disais que tous le monde allais voir ma soit disante " performance". C'est plus facile d'aborder l'inconnu avec un brin d'humour, surtout que la caméra imortalise des momments qu'ont ne veu pas necessairement se souvenir. Alors oui, au début j'ai bien rigolé. Ce qui, logiquement faisait rire mes partenaires de travail. Rire était essentiel pour nous mettrent le moindrement à l'aise devant cette infâme machine. C'est vrai, c'était très drôle! Moi qui devais crier de toutes mes forces des insultes à Oli sans tenir compte du sourire fendu jusqu'aux oreilles de Julie juste dérrière la caméra parce que ma voix faussais. Oli qui ne devait pas rire non plus quand je ne savais plus trop quoi dire et que j'avais oublié de faire une action quelconque. J'aurais mentis si j'aurais dis que nous étions tous très à l'aise de se faire filmer, que je n'est pas éprouvé de gêne, que tous, nous avons gardé notre serieux du début à la fin, que nous avons été capable sans difficulté d'interprétation de filmer nos scènes du premier coup, exactement comme si nous étions des acteurs professionnels. Ça n'a pas été le cas et c'est temps mieux! On savait déjà très bien notre rôle, notre but, ce que nous devions faire devant la caméra. Cet aspect avait été mit en place bien avant de tenir la caméra dans nos mains. C'est avant de filmer surtout que j'ai participé à l'élaboration du projet. OK, j'aurai pu plus démontrer mon implication artistique dans la classe...D'abord je me suis moi-même proposée pour apparaître dans le vidéo. Vous verrez dans mon portfolio comment et qu'est-ce que j'ai fait plus concrètement. L'important c'est que j'ai fait ce que j'avais à faire selon ce qui avait été conclu en équipe. Je n'ai pas fait l'erreur d'être sufisante contrairement à ce que bien des gens pense. Bien sûr, j'aurais pu diriger à voix haute les autres, montrer que je voulais participé devant les profs, pour finalement faire autant de travail que n'importe qui de silencieux dans le cours. Peut-être que je parle sans savoir qui s'est vraiment le plus impliqué , mais reste que tous le monde à fait quelque chose par rapport à l'oeuvre totale. Comme la note est idividuelle et que la façon de noter les étudiants n'a jamais été clair, comment allez-vous être capable de savoir en bout de ligne qui mérite vraiment quoi? Impossible. Et c'est maintenant que vous nous faites faire un portfolio!!!&!"/$%? Maintenant que le fil conducteur du projet est mort, fini, achevé. Maintenant, vous voulez que les étudiants qui ne passent pas rebrassent ça en puisant au fond de leurs souvenir presque lointain, tout ça pourquoi au fond? Tous le monde impliqués de proche ou de loin, que ce soit moi ou un autre, devrait commencer à 60 %, juste par le fait qu'il a au moin participé à un projet que je califirais presque d'éxpérimental. L'oeuvre mettait aussi en avant plan le concept de performance. Ce n'est pas pour rien j'imagine. C'est jusqu'à date, la seule façon d'avoir une note. La performance que nous allons faire devant les profs pour qu'ils pensent que l'on se défonce dans le projet. La performance de l'étudiant à se montrer dans le cours, à avoir l'air intéressé. Si je comprend bien, c'est ce que l'étudiant faisait en avant des profs qui donne la note. Je ne veux pas couler le cours, c'est sûr et certain. Mais maintenant que le projet est fini depuis bien longtemps, que j'ai participé autant que certains qui eux, ont une note, comment prouver que je mérite de passer? Est-ce qu'il s'agit d'injustice ou d'ajustement?
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La gêne et le stress son deux facteurs qui viennent avec la location d'une caméra d'après moi! C'est vrai, quand ont à commencé à filmer notre partie de l'oeuvre totale, j'étais incapable de ne pas sourire. Premièrement parce que je ne suis pas habitué à ça, et deuxièmemment parce que je me disais que tous le monde allais voir ma soit disante " performance". C'est plus facile d'aborder l'inconnu avec un brin d'humour, surtout que la caméra imortalise des momments qu'ont ne veu pas necessairement se souvenir. Alors oui, au début j'ai bien rigolé. Ce qui, logiquement faisait rire mes partenaires de travail. Rire était essentiel pour nous mettrent le moindrement à l'aise devant cette infâme machine. C'est vrai, c'était très drôle! Moi qui devais crier de toutes mes forces des insultes à Oli sans tenir compte du sourire fendu jusqu'aux oreilles de Julie juste dérrière la caméra parce que ma voix faussais. Oli qui ne devait pas rire non plus quand je ne savais plus trop quoi dire et que j'avais oublié de faire une action quelconque. J'aurais mentis si j'aurais dis que nous étions tous très à l'aise de se faire filmer, que je n'est pas éprouvé de gêne, que tous, nous avons gardé notre serieux du début à la fin, que nous avons été capable sans difficulté d'interprétation de filmer nos scènes du premier coup, exactement comme si nous étions des acteurs professionnels. Ça n'a pas été le cas et c'est temps mieux! On savait déjà très bien notre rôle, notre but, ce que nous devions faire devant la caméra. Cet aspect avait été mit en place bien avant de tenir la caméra dans nos mains. C'est avant de filmer surtout que j'ai participé à l'élaboration du projet. OK, j'aurai pu plus démontrer mon implication artistique dans la classe...D'abord je me suis moi-même proposée pour apparaître dans le vidéo. Vous verrez dans mon portfolio comment et qu'est-ce que j'ai fait plus concrètement. L'important c'est que j'ai fait ce que j'avais à faire selon ce qui avait été conclu en équipe. Je n'ai pas fait l'erreur d'être sufisante contrairement à ce que bien des gens pense. Bien sûr, j'aurais pu diriger à voix haute les autres, montrer que je voulais participé devant les profs, pour finalement faire autant de travail que n'importe qui de silencieux dans le cours. Peut-être que je parle sans savoir qui s'est vraiment le plus impliqué , mais reste que tous le monde à fait quelque chose par rapport à l'oeuvre totale. Comme la note est idividuelle et que la façon de noter les étudiants n'a jamais été clair, comment allez-vous être capable de savoir en bout de ligne qui mérite vraiment quoi? Impossible. Et c'est maintenant que vous nous faites faire un portfolio!!!&!"/$%? Maintenant que le fil conducteur du projet est mort, fini, achevé. Maintenant, vous voulez que les étudiants qui ne passent pas rebrassent ça en puisant au fond de leurs souvenir presque lointain, tout ça pourquoi au fond? Tous le monde impliqués de proche ou de loin, que ce soit moi ou un autre, devrait commencer à 60 %, juste par le fait qu'il a au moin participé à un projet que je califirais presque d'éxpérimental. L'oeuvre mettait aussi en avant plan le concept de performance. Ce n'est pas pour rien j'imagine. C'est jusqu'à date, la seule façon d'avoir une note. La performance que nous allons faire devant les profs pour qu'ils pensent que l'on se défonce dans le projet. La performance de l'étudiant à se montrer dans le cours, à avoir l'air intéressé. Si je comprend bien, c'est ce que l'étudiant faisait en avant des profs qui donne la note. Je ne veux pas couler le cours, c'est sûr et certain. Mais maintenant que le projet est fini depuis bien longtemps, que j'ai participé autant que certains qui eux, ont une note, comment prouver que je mérite de passer? Est-ce qu'il s'agit d'injustice ou d'ajustement?
L'opinion que j'avais de l'oeuvre totale 5 minutes après que je sois partis ressemblait étrangement à celle de Gab (le retour: aller lire ça, c'est très engagé). Puis, j'ai vu du positif. La globalité du travail montré par l'instalation m'a étonné. Maintenant que la poussière est retombée, c'est sûr que ce que j'en pense s'est concrétisé, s'est transformé...
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